Posts by Philipp Senn

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Respecter l’obligation DEP en toute simplicité

 

Une partie du corps médical doit participer au dossier électronique du patient (DEP) depuis le début de l’année. La communauté DEP AD Swiss offre aux prestataires de services un accès simple au DEP avec leur identité HIN existante. Ils respectent ainsi l’obligation DEP en toute simplicité et sans investissement important.

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Notification de vaccination COVID via AD Swiss – directement à partir du logiciel de cabinet vitomed de Vitodata

 

Les activités de vaccination se déplacent de plus en plus des centres de vaccination vers les cabinets médicaux et les pharmacies. Ceux-ci doivent être en mesure d’effectuer l’administration et la documentation avec des processus et des systèmes les plus performants possible. L’intégration transparente dans vitomed permet de transmettre automatiquement les données de vaccination COVID-19 vers le système de surveillance des vaccinations et d’établir des certificats Covid officiels.

 

L’intégration dans vitomed allège la charge de travail des médecins et du personnel médical. Leur participation à la campagne nationale de vaccination est intégrée de manière efficace dans les processus du cabinet et la charge de travail supplémentaire liée aux notifications de vaccination est réduite à un minimum. Le processus comprend également l’établissement de certificats Covid pour les patients et le stockage de ceux-ci dans le système de gestion des documents vitomed.

 

Comment cela fonctionne-t-il?

Dans vitomed, il suffit de sélectionner d’un simple clic le «Formulaire de vaccination Covid», de compléter les informations pré-remplies et d’envoyer le formulaire à la plate-forme AD Swiss en cliquant sur «Enregistrer». Les données sont transmises de manière sécurisée à l’OFSP ou au canton et le carnet de vaccination ou le certificat Covid pour le patient est établi et stocké dans le dossier médical. Il peut alors être imprimé et remis au patient ou envoyé à celui-ci via HIN Mail Global.

La vidéo suivante explique la procédure à suivre en interaction avec vitomed:

 

«L’intégration d’‹AD Swiss Covid-Impfen› dans notre logiciel de cabinet s’est avérée très réussie», précise Dr méd. Cornelia Meier. Elle est spécialiste en médecine interne générale FMH et co-présidente de la Société des médecins du canton de Soleure GAeSO. Environ 800 vaccinations Covid ont déjà été effectuées dans son cabinet. «Grâce à AD Swiss et à l’interface intégrée dans «vitomed», les processus administratifs sont devenus beaucoup plus simples, plus légers et plus pratiques.» Lisez l’interview détaillée avec Cornelia Meier

«Je suis très heureux que Vitodata ait intégré dès le début dans vitomed la notification de vaccination via la plate-forme AD Swiss», déclare Michael Fickenscher, directeur d’AD Swiss. «Cela démontre que la collaboration au sein de l’AD Swiss Community porte des fruits que les prestataires de services peuvent récolter dans leur travail quotidien.»

 

Notifications de vaccination dans certains cantons – certificats de test dans toute la Suisse

Que peuvent faire les médecins qui procèdent aux vaccinations Covid? Nous recommandons l’utilisation de la solution d’AD Swiss dans les cantons et avec les PIS qui le permettent déjà. Pour savoir lesquels, consultez notre site Internet régulièrement mis à jour.

La création des certificats Covid après test antigénique rapide via la même interface sont possibles dans tous les cantons. En savoir plus

 

Vitodata AG

Entreprise suisse indépendante, Vitodata AG est active depuis 1980 dans le secteur de la santé, où elle propose des solutions informatiques complètes pour les médecins et le personnel médical. Le logiciel de cabinet «vitomed» est l’application pour tous les domaines de spécialité la plus répandue en Suisse. Elle est utilisée avec succès dans des cabinets médicaux, services ambulatoires, cliniques et chaînes de cabinets. L’étendue de services de Vitodata va du logiciel de cabinet vitomed avec différentes connexions (p. ex. attribution et ordonnance électroniques, eMediplan, calendrier en ligne, appareils médicaux, laboratoires externes, etc.) à la solution de cloud «IT as a Service» – hébergée dans ses propres centres de données en Suisse, pour plus de sécurité et de protection des données. Notre mission est de veiller à ce que les processus de travail numériques dans les cabinets médicaux soient adaptés aux besoins, sécurisés et rationnels.

 

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« Nous devons tous rester en contact pour pousser le ballon dans le bon but »

 

La pandémie de Covid 19 a déclenché une vague de développement numérique. Dans l’interview, Cornelia Meier, MD, fait part de ses expériences. Elle est spécialiste en médecine interne générale FMH et coprésidente de la Société des médecins du canton de Soleure GAeSO. Dans sa pratique, elle utilise le service « AD Swiss Covid vaccination » depuis janvier 2021 et a accompagné son développement en tant qu’utilisateur pilote.

 

Dr Meier, comment est née votre collaboration avec AD Swiss?

En raison des développements difficiles concernant l’échange national de données au niveau du dossier électronique du patient, nous, en tant qu’association médicale cantonale, avons sensibilisé nos membres aux services d’AD Swiss il y a quelque temps. En particulier, parce qu’il n’est pas nécessaire d’installer des programmes supplémentaires pour utiliser les services d’AD Swiss, mais que les fournisseurs de services sont déjà « prêts » pour les autres accès grâce à leur raccordement HIN.

Pendant cette pandémie, nous avons été en contact précoce et régulier avec les autorités sanitaires cantonales (GesA). De cette manière, nous avons également pu convaincre les autorités cantonales que l’accréditation d’AD Swiss en tant qu’unité déclarante vis-à-vis du gouvernement fédéral et du canton est une situation gagnant-gagnant pour nous tous.

 

Vous avez déjà été impliqué dans la phase pilote du service « AD Swiss Covid-Impfen » et avez donné votre avis. Comment s’est déroulée cette expérience?

Nous avons pu faire l’expérience de ces processus dans cinq cabinets pilotes du canton dès janvier 2021. Les problèmes ont ainsi pu être enregistrés sur une base 1:1 et analysés avec AD Swiss, où les leviers d’amélioration pouvaient être actionnés avant que les vaccinations et leurs processus ne soient ensuite introduits dans les cabinets à partir de la mi-avril. Il s’agissait d’un développement continu et, rétrospectivement, d’une bonne expérience pour le système qui fonctionne très bien aujourd’hui. Cela a montré clairement l’importance de l’interaction et de la communication des deux côtés.

 

Comment utilisez-vous vous-même la « vaccination AD Swiss Covid » dans votre pratique aujourd’hui?

À ce jour, nous avons effectué environ 800 vaccinations dans notre cabinet. Au début, nous organisions des après-midi de vaccination pour faire face au grand nombre de personnes qui souhaitaient être vaccinées mais ne voulaient pas se rendre dans un centre de vaccination pour diverses raisons. À cette fin, toute l’opération a été arrêtée au profit de l’organisation de la vaccination. Entre-temps, grâce aux procédures mises en œuvre et au personnel formé, nous pouvons proposer 20 à 24 vaccinations par jour sans interrompre les opérations. Grâce à AD Swiss et à l’interface intégrée au logiciel du cabinet, les processus administratifs sont devenus beaucoup plus simples, plus légers et plus pratiques.

 

Quels commentaires avez-vous reçus d’autres médecins de Soleure?

Il était important que les médecins de Soleure disposent d’instructions appropriées et de personnes de contact fiables en cas de problèmes, en raison des importants obstacles administratifs, de la commande des vaccins et de l’enregistrement à la délivrance des certificats de vaccination. Au début, il y a eu quelques problèmes de démarrage, qui ont exigé beaucoup de nerfs au moment du stress avec 50 à 60 futurs vaccinateurs dans le cabinet, qui voulaient être servis en conformité avec la corona, avec des intervalles et dans la convivialité traditionnelle. Mais la volonté de l’équipe d’AD Swiss de tester et de mettre à disposition les nouvelles versions et de libérer des capacités de serveurs en faveur de l’augmentation de la vitesse du système, même dans les actions de nuit et de brouillard, a calmé les nerfs. Au final, le retour d’information concernant le support des systèmes d’AD Swiss n’a été que positif.

 

En parlant du certificat Covid: quelles expériences avez-vous eues avec lui?

Nous sommes également étroitement impliqués dans le dialogue technique avec le canton concernant la délivrance des certificats. Il est logique que le bureau qui a vacciné les personnes et donc enregistré les données personnelles émette également le certificat. Ainsi, la plupart des cabinets ont également délivré les certificats des personnes vaccinées avant le 30 juin 2021 de manière rétrospective. Il a été très utile que cela soit enfin possible dans le système d’AD Swiss par une procédure simplifiée « en appuyant sur un bouton », y compris l’envoi par la Confédération.

 

Le canton de Soleure a autorisé très tôt AD Swiss comme « reporting unit » afin que le service « AD Swiss Covid-Impfen » puisse être utilisé par les médecins du canton. Quels conseils avez-vous à donner à vos collègues des cantons qui ne sont pas encore autorisés?

Comme je l’ai dit, nous étions déjà très étroitement impliqués dans les dialogues spécialisés avec le canton dès le début de la pandémie. Nous avons ainsi pu exprimer le souhait qu’AD Swiss soit accréditée en tant qu’unité déclarante et avons également pu servir de médiateur pour le contact. Je pense que l’échange établi et régulier avec les différents acteurs du canton de Soleure a fait ses preuves. Bien sûr, le paysage politique est différent dans chaque canton, mais en tant que profession médicale, nous ne pouvons pas faire l’économie d’une meilleure mise en réseau politique et d’un maintien du contact.

 

Interaction optimale des systèmes et des joueurs pour plus d’efficacité et de sécurité dans la routine quotidienne de la pratique

 

Vous avez mentionné l’intégration de la « vaccination AD Swiss Covid » dans le logiciel du cabinet. Quelle est votre expérience en la matière et quelle importance accordez-vous à ces intégrations et au dialogue avec les partenaires informatiques ?

La connexion de « AD Swiss Covid-Impfen » à notre logiciel de pratique vitomed s’est avérée très réussie. Ces intégrations sont synonymes de plus d’efficacité, de plus de qualité et, grâce au temps gagné – par exemple en évitant de saisir deux fois les mêmes données – de plus de temps pour le travail direct avec les patients.

Je travaille uniquement en numérique dans le cabinet depuis 2002. J’ai déjà migré deux fois l’ensemble du système vers un nouveau système et je suis donc familier avec les différents logiciels de cabinet. La pandémie a clairement déclenché une poussée du développement numérique et a également montré aux médecins ce qu’il est possible de faire avec le numérique. J’y vois l’avenir. Nous ne pouvons pas fermer nos esprits à ce sujet. Pour moi, une pratique numérique avec un flux de travail bien répété et défini est aussi une question d’efficacité et de sécurité dans la pratique quotidienne. Dans notre cabinet, nous nous sommes assis avec les gens de Vitodata et nous avons modifié le système jusqu’à ce qu’il soit adapté à notre cabinet de groupe composé de trois médecins. Certaines de ces modifications ont ensuite été transférées à Vitodata pour être développées plus avant.

 

AD Swiss et HIN sont des entreprises qui sont aux mains des médecins, plus précisément, détenue majoritairement par la FMH et la Caisse des médecins. Comment évaluez-vous l’engagement du corps médical à fonder et à financer lui-même de tels fournisseurs de services informatiques?

Je pense, en particulier d’après l’expérience du développement continu de l’administration des vaccins et de la délivrance des certificats, qu’il est très important que ceux qui doivent finalement les utiliser soutiennent également de toute urgence ces services. Ce n’est que de cette manière que les exigences de la pratique quotidienne peuvent être intégrées efficacement dans les processus.

 

Avec la progression de la numérisation, les risques de fuite, de piratage ou même de suppression accidentelle de données sensibles augmentent également. Comment vous assurez-vous que les données des patients sont protégées à tout moment?

Nous sommes équipés de pare-feu et de programmes anti-virus, nous attachons de l’importance à effectuer des mises à jour régulières des systèmes, Vitodata entretient régulièrement le serveur plusieurs fois par an. Deux fois par jour, une sauvegarde de sécurité est effectuée sur un serveur externe. Les employés sont soumis à plusieurs reprises à des processus de sensibilisation.
Nous réfléchissons déjà à la révision de la loi sur la protection des données et envisageons de passer à une protection élargie à partir de 2022, avec la possibilité d’un consentement écrit du patient pour le traitement électronique des données par saisie sur le bloc de signature et stockage direct ultérieur.

 

En tant que médecin, vous voulez pouvoir vous concentrer sur les questions médicales et le traitement de vos patients. Où les solutions numériques pourraient-elles vous soulager encore plus, vous et votre personnel?

Mes souhaits: archivage automatique des rapports des patients dans les systèmes primaires, formulaires numériques fonctionnels, divulgation des adresses de courrier sécurisé des services de médecins-conseils (faute d’adresses de courrier, nous continuons à envoyer du papier dans le monde entier), intégration plus facile des dispositifs médicaux dans le logiciel du cabinet sans avoir à faire face à un effort récurrent et financièrement douloureux pour les interfaces dorées à chaque fois et à devoir les négocier au ping-pong avec les sociétés… Puis-je souhaiter davantage? Comme je l’ai dit, je vois un potentiel dans le fait que de plus en plus de formulaires pour des demandes de renseignements sur les assurances accidents ou les assurances d’indemnités journalières/compagnies d’assurance maladie seront remplis automatiquement. La charge administrative a énormément augmenté dans ce domaine. Entre-temps, la caisse d’assurance maladie demande une déclaration pour chaque médicament délivré, afin de pouvoir sonder d’éventuelles limitations.

 

Comment évaluez-vous les avantages du dossier électronique du patient (DEP) et l’importance des services complémentaires qui sont utilisés en plus du DEP?

Je suis quelque peu sceptique à l’égard du DEP et je crains un désert PDF imminent si le dossier n’est pas maintenu par le patient autant qu’il le peut. Cependant, il aura probablement besoin d’aide dans la jungle des termes techniques et, comme nous sommes déjà très bien couverts par le travail administratif, les assurance etc., notre temps pour ce travail est limité. Tout cela est perdu dans le temps passé en contact direct avec le patient. Nous devons faire la part des choses. D’autre part, je vois beaucoup de potentiel dans les services mentionnés. Dès que ceux-ci pourront exploiter automatiquement les données des systèmes primaires, ils atteindront une hauteur de vol utile. Sinon, je suis plus rapide pour générer une prescription à partir des données de l’historique médical numérique et l’envoyer par email à la pharmacie. Il en va de même pour les rapports d’orientation, que j’ai rédigés avec Dragon dans le système de dictée et que j’envoie en un tournemain. Nous devons tous rester en contact pour pousser le ballon dans le bon but.

La pandémie de Covid 19 a déclenché une vague de développement numérique. Dans l’interview, Cornelia Meier, MD, fait part de ses expériences. Elle est spécialiste en médecine interne générale FMH et coprésidente de la Société des médecins du canton de Soleure GAeSO. Dans sa pratique, elle utilise le service « AD Swiss Covid vaccination » depuis janvier 2021 et a accompagné son développement en tant qu’utilisateur pilote.

 

Dr Meier, comment est née votre collaboration avec AD Swiss?

En raison des développements difficiles concernant l’échange national de données au niveau du dossier électronique du patient, nous, en tant qu’association médicale cantonale, avons sensibilisé nos membres aux services d’AD Swiss il y a quelque temps. En particulier, parce qu’il n’est pas nécessaire d’installer des programmes supplémentaires pour utiliser les services d’AD Swiss, mais que les fournisseurs de services sont déjà « prêts » pour les autres accès grâce à leur raccordement HIN.

Pendant cette pandémie, nous avons été en contact précoce et régulier avec les autorités sanitaires cantonales (GesA). De cette manière, nous avons également pu convaincre les autorités cantonales que l’accréditation d’AD Swiss en tant qu’unité déclarante vis-à-vis du gouvernement fédéral et du canton est une situation gagnant-gagnant pour nous tous.

 

Vous avez déjà été impliqué dans la phase pilote du service « AD Swiss Covid-Impfen » et avez donné votre avis. Comment s’est déroulée cette expérience?

Nous avons pu faire l’expérience de ces processus dans cinq cabinets pilotes du canton dès janvier 2021. Les problèmes ont ainsi pu être enregistrés sur une base 1:1 et analysés avec AD Swiss, où les leviers d’amélioration pouvaient être actionnés avant que les vaccinations et leurs processus ne soient ensuite introduits dans les cabinets à partir de la mi-avril. Il s’agissait d’un développement continu et, rétrospectivement, d’une bonne expérience pour le système qui fonctionne très bien aujourd’hui. Cela a montré clairement l’importance de l’interaction et de la communication des deux côtés.

 

Comment utilisez-vous vous-même la « vaccination AD Swiss Covid » dans votre pratique aujourd’hui?

À ce jour, nous avons effectué environ 800 vaccinations dans notre cabinet. Au début, nous organisions des après-midi de vaccination pour faire face au grand nombre de personnes qui souhaitaient être vaccinées mais ne voulaient pas se rendre dans un centre de vaccination pour diverses raisons. À cette fin, toute l’opération a été arrêtée au profit de l’organisation de la vaccination. Entre-temps, grâce aux procédures mises en œuvre et au personnel formé, nous pouvons proposer 20 à 24 vaccinations par jour sans interrompre les opérations. Grâce à AD Swiss et à l’interface intégrée au logiciel du cabinet, les processus administratifs sont devenus beaucoup plus simples, plus légers et plus pratiques.

 

Quels commentaires avez-vous reçus d’autres médecins de Soleure?

Il était important que les médecins de Soleure disposent d’instructions appropriées et de personnes de contact fiables en cas de problèmes, en raison des importants obstacles administratifs, de la commande des vaccins et de l’enregistrement à la délivrance des certificats de vaccination. Au début, il y a eu quelques problèmes de démarrage, qui ont exigé beaucoup de nerfs au moment du stress avec 50 à 60 futurs vaccinateurs dans le cabinet, qui voulaient être servis en conformité avec la corona, avec des intervalles et dans la convivialité traditionnelle. Mais la volonté de l’équipe d’AD Swiss de tester et de mettre à disposition les nouvelles versions et de libérer des capacités de serveurs en faveur de l’augmentation de la vitesse du système, même dans les actions de nuit et de brouillard, a calmé les nerfs. Au final, le retour d’information concernant le support des systèmes d’AD Swiss n’a été que positif.

 

En parlant du certificat Covid: quelles expériences avez-vous eues avec lui?

Nous sommes également étroitement impliqués dans le dialogue technique avec le canton concernant la délivrance des certificats. Il est logique que le bureau qui a vacciné les personnes et donc enregistré les données personnelles émette également le certificat. Ainsi, la plupart des cabinets ont également délivré les certificats des personnes vaccinées avant le 30 juin 2021 de manière rétrospective. Il a été très utile que cela soit enfin possible dans le système d’AD Swiss par une procédure simplifiée « en appuyant sur un bouton », y compris l’envoi par la Confédération.

 

Le canton de Soleure a autorisé très tôt AD Swiss comme « reporting unit » afin que le service « AD Swiss Covid-Impfen » puisse être utilisé par les médecins du canton. Quels conseils avez-vous à donner à vos collègues des cantons qui ne sont pas encore autorisés?

Comme je l’ai dit, nous étions déjà très étroitement impliqués dans les dialogues spécialisés avec le canton dès le début de la pandémie. Nous avons ainsi pu exprimer le souhait qu’AD Swiss soit accréditée en tant qu’unité déclarante et avons également pu servir de médiateur pour le contact. Je pense que l’échange établi et régulier avec les différents acteurs du canton de Soleure a fait ses preuves. Bien sûr, le paysage politique est différent dans chaque canton, mais en tant que profession médicale, nous ne pouvons pas faire l’économie d’une meilleure mise en réseau politique et d’un maintien du contact.

 

Interaction optimale des systèmes et des joueurs pour plus d’efficacité et de sécurité dans la routine quotidienne de la pratique

 

Vous avez mentionné l’intégration de la « vaccination AD Swiss Covid » dans le logiciel du cabinet. Quelle est votre expérience en la matière et quelle importance accordez-vous à ces intégrations et au dialogue avec les partenaires informatiques ?

La connexion de « AD Swiss Covid-Impfen » à notre logiciel de pratique vitomed s’est avérée très réussie. Ces intégrations sont synonymes de plus d’efficacité, de plus de qualité et, grâce au temps gagné – par exemple en évitant de saisir deux fois les mêmes données – de plus de temps pour le travail direct avec les patients.

Je travaille uniquement en numérique dans le cabinet depuis 2002. J’ai déjà migré deux fois l’ensemble du système vers un nouveau système et je suis donc familier avec les différents logiciels de cabinet. La pandémie a clairement déclenché une poussée du développement numérique et a également montré aux médecins ce qu’il est possible de faire avec le numérique. J’y vois l’avenir. Nous ne pouvons pas fermer nos esprits à ce sujet. Pour moi, une pratique numérique avec un flux de travail bien répété et défini est aussi une question d’efficacité et de sécurité dans la pratique quotidienne. Dans notre cabinet, nous nous sommes assis avec les gens de Vitodata et nous avons modifié le système jusqu’à ce qu’il soit adapté à notre cabinet de groupe composé de trois médecins. Certaines de ces modifications ont ensuite été transférées à Vitodata pour être développées plus avant.

 

AD Swiss et HIN sont des entreprises qui sont aux mains des médecins, plus précisément, détenue majoritairement par la FMH et la Caisse des médecins. Comment évaluez-vous l’engagement du corps médical à fonder et à financer lui-même de tels fournisseurs de services informatiques?

Je pense, en particulier d’après l’expérience du développement continu de l’administration des vaccins et de la délivrance des certificats, qu’il est très important que ceux qui doivent finalement les utiliser soutiennent également de toute urgence ces services. Ce n’est que de cette manière que les exigences de la pratique quotidienne peuvent être intégrées efficacement dans les processus.

 

Avec la progression de la numérisation, les risques de fuite, de piratage ou même de suppression accidentelle de données sensibles augmentent également. Comment vous assurez-vous que les données des patients sont protégées à tout moment?

Nous sommes équipés de pare-feu et de programmes anti-virus, nous attachons de l’importance à effectuer des mises à jour régulières des systèmes, Vitodata entretient régulièrement le serveur plusieurs fois par an. Deux fois par jour, une sauvegarde de sécurité est effectuée sur un serveur externe. Les employés sont soumis à plusieurs reprises à des processus de sensibilisation.
Nous réfléchissons déjà à la révision de la loi sur la protection des données et envisageons de passer à une protection élargie à partir de 2022, avec la possibilité d’un consentement écrit du patient pour le traitement électronique des données par saisie sur le bloc de signature et stockage direct ultérieur.

 

En tant que médecin, vous voulez pouvoir vous concentrer sur les questions médicales et le traitement de vos patients. Où les solutions numériques pourraient-elles vous soulager encore plus, vous et votre personnel?

Mes souhaits: archivage automatique des rapports des patients dans les systèmes primaires, formulaires numériques fonctionnels, divulgation des adresses de courrier sécurisé des services de médecins-conseils (faute d’adresses de courrier, nous continuons à envoyer du papier dans le monde entier), intégration plus facile des dispositifs médicaux dans le logiciel du cabinet sans avoir à faire face à un effort récurrent et financièrement douloureux pour les interfaces dorées à chaque fois et à devoir les négocier au ping-pong avec les sociétés… Puis-je souhaiter davantage? Comme je l’ai dit, je vois un potentiel dans le fait que de plus en plus de formulaires pour des demandes de renseignements sur les assurances accidents ou les assurances d’indemnités journalières/compagnies d’assurance maladie seront remplis automatiquement. La charge administrative a énormément augmenté dans ce domaine. Entre-temps, la caisse d’assurance maladie demande une déclaration pour chaque médicament délivré, afin de pouvoir sonder d’éventuelles limitations.

 

Comment évaluez-vous les avantages du dossier électronique du patient (DEP) et l’importance des services complémentaires qui sont utilisés en plus du DEP?

Je suis quelque peu sceptique à l’égard du DEP et je crains un désert PDF imminent si le dossier n’est pas maintenu par le patient autant qu’il le peut. Cependant, il aura probablement besoin d’aide dans la jungle des termes techniques et, comme nous sommes déjà très bien couverts par le travail administratif, les assurance etc., notre temps pour ce travail est limité. Tout cela est perdu dans le temps passé en contact direct avec le patient. Nous devons faire la part des choses. D’autre part, je vois beaucoup de potentiel dans les services mentionnés. Dès que ceux-ci pourront exploiter automatiquement les données des systèmes primaires, ils atteindront une hauteur de vol utile. Sinon, je suis plus rapide pour générer une prescription à partir des données de l’historique médical numérique et l’envoyer par email à la pharmacie. Il en va de même pour les rapports d’orientation, que j’ai rédigés avec Dragon dans le système de dictée et que j’envoie en un tournemain. Nous devons tous rester en contact pour pousser le ballon dans le bon but.

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13.08.2021: Nouveau service d’AD Swiss: certificat COVID après test antigénique rapide dans tous les cantons

 

Grâce à cette nouvelle solution, les prestataires de service peuvent enregistrer les tests antigéniques rapides et émettre les certificats Covid. Ce service peut être utilisé via l’AD Swiss Convenience Interface ou directement à partir du logiciel de cabinet, et est approuvé dans tous les cantons.

 

De nombreux prestataires de services connaissent déjà le service AD Swiss Covid-Impfen (service de vaccination COVID AD Swiss) et l’utilisent avec succès dans leur cabinet. Il est désormais possible de délivrer aux patients les certificats COVID de la même manière. La déclaration statistique correspondante est encore en préparation.

«Après la mise en œuvre réussie du “certificat COVID pour personnes vaccinées” avec AD Swiss, le “certificat COVID pour personnes testées“ était la prochaine étape logique à nos yeux», explique Michael Fickenscher, directeur (CEO) d’AD Swiss Net AG. «Je suis surtout ravi que nos clients aient la possibilité d’utiliser ce service dans toute la Suisse sans autorisation spéciale du canton.»

 

Certificat de test antigénique rapide AD Swiss – un service aux nombreux avantages

  • Simplifie l’ancien processus manuel et fastidieux de délivrance via le site Web de l’OFSP;
  • Le processus est lancé directement à partir du dossier médical (DM) du patient dans le système primaire (PIS);
  • Les données des patients et des prestataires de services sont automatiquement prélevées dans le PIS et transmises à l’OFSP via une interface;
  • Authentification avec identité HIN (eID) – la saisie fastidieuse du 2e facteur n’est plus nécessaire (analogue au Hub de vaccination COVID);
  • Délivrance automatique du certificat COVID dans l’application du patient (In-App Delivery);
  • Importation automatique du certificat COVID vers le DM du patient dans le PIS;
  • Peut être utilisé immédiatement dans tous les PIS raccordés via l’interface AD Swiss existante (service de vaccination COVID AD Swiss) sans aucune modification;
  • Disponible dans tous les cantons (le service de vaccination COVID AD Swiss est toujours uniquement disponible dans les cantons autorisés);
  • AD Swiss fournit ce service gratuitement aux prestataires de services (des frais peuvent être facturés par le fournisseur du PIS).

Le service d’AD Swiss facilite l’administration des tests antigéniques rapides pour les professionnels et le personnel. L’intégration déjà présente dans de nombreux logiciels de cabinet courants fait gagner encore plus de temps aux prestataires de services. En outre, la protection et la sécurité des données sont garanties à tout moment grâce à l’utilisation de systèmes éprouvés et établis.

 

Avons-nous suscité votre intérêt?

En tant que prestataire de services, contactez de préférence le fabricant de votre système primaire. Vous trouverez tous les PIS raccordés sur notre site Web.

 

Informations complémentaires

Instructions et questions fréquemment posées

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08.02.2021 (mis à jour le 26.08.): Déclaration de données de vaccination Covid depuis le système primaire

Plus il y aura de vaccins disponibles contre le Covid-19, plus les prestataires de services ambulatoires seront impliqués dans la campagne nationale de vaccination. Afin de réduire la charge administrative du corps médical, AD Swiss propose une solution permettant de transmettre les données de vaccination Covid directement du système primaire à l’OFSP. Peer Hostettler, responsable des ventes d’AD Swiss et membre de la direction de HIN, nous révèle de quoi il s’agit.

 

AD Swiss: AD Swiss souhaite simplifier la transmission à l’OFSP des données de vaccination. De quoi s’agit-il?

Peer Hostettler: Le corps médical était déjà surchargé de travail avant le Covid-19 et il est désormais soumis à une pression supplémentaire liée la maîtrise de la pandémie – par exemple avec l’extension imminente de la campagne de vaccination aux prestataires de services ambulatoires. Nous souhaitons alléger le plus possible la charge de travail des médecins et mettons tout en œuvre en ce sens en tant que médecins fournisseurs de solutions.

 

Comment AD Swiss peut-elle contribuer à simplifier les processus?

La collecte et la transmission de données est notre cœur de métier, et nous disposons en la matière d’une expertise unique en son genre. Il est donc pour nous évident que nous pouvons et souhaitons apporter notre contribution. Les données médicales doivent être transmises de manière sécurisée, et ce autant que possible dans un format permettant un traitement et une utilisation ultérieure simples. Pour ce faire, nous misons sur des interfaces ouvertes et des formats d’échange standardisés. Si cet échange peut en plus être automatisé, nous parvenons alors à une véritable mise en réseau des systèmes. Et cela réduit de manière significative la charge de travail des différents acteurs.

 

Comment fonctionne la transmission simplifiée des données de vaccination?

Nous avons ajouté à un service déjà existant d’AD Swiss, l’AD Swiss Convenience Interface (ADS CI), une fonction supplémentaire permettant la transmission des données de vaccination. Outre les attributions et les ordonnances électroniques, les médecins peuvent désormais saisir les vaccinations Covid depuis leur logiciel de cabinet et transmettre celles-ci à la surveillance des vaccinations de la Confédération. Le système primaire envoie pour ce faire les données agrégées à l’ADS CI. Les données sont ensuite transmises par le système à la surveillance des vaccinations de l’OFSP. L’ADS CI génère également un carnet de vaccination pour le patient, comportant toutes les données prescrites par l’OFSP, et renvoie celui-ci au système primaire. Le ou la médecin peut ensuite remettre le carnet de vaccination au patient ou à la patiente.

 

Que doivent faire les prestataires de services qui veulent utiliser la solution, et cela leur coûte-t-il quelque chose?

AD Swiss ne facture aucun coût aux utilisateurs – seul le raccordement HIN nécessaire pour l’authentification ADS CI reste à leur charge, mais la plupart l’ont déjà. Dans la mesure où l’interface avec l’ADS CI est ouverte à tous les fournisseurs de systèmes primaires, d’autres connexions seront ajoutées prochainement. Les médecins doivent donc se renseigner auprès de leur fournisseur de logiciels sur la disponibilité et les coûts encourus.

Mise à jour (26.08.2021): Fournisseurs et cantons

La solution est integrée dans les logiciels de cabinet des fournisseurs suivants:

  • Caisse des Médecins (MediWin CB)
  • Caisse des Médecins (MediOnline)
  • Vitodata (vitomed)
  • amétiq (siMed)
  • TMR AG (WinMed)
  • Advanced Concepts AG (MedicalConcept)
  • Swisscom Health AG (triaMED)
  • Kern Concept AG (AESKULAP)
  • Compass IT AG (ePaad)
  • Gartenmann Software AG (PraxisDesktop)
AD Swiss est autorisée par les cantons suivants en tant qu’unité déclarante:

  • Argovie
  • Bâle-Campagne
  • Bâle-Ville
  • Glaris
  • Grisons
  • Lucerne
  • Obwald
  • Schwyz
  • Soleure

Informations supplémentaires:

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28.07.2021: Raccordement du DEP au système de gestion de cabinet – préparation optimale avec AD Swiss et amétiq siMed

 

La société amétiq AG va désormais raccorder le dossier électronique du patient (DEP) via l’AD Swiss au système de gestion de cabinet amétiq siMed. Les partenaires de longue date de l’écosystème, amétiq et AD Swiss, poursuivent ensemble l’objectif de fournir aux prestataires de services un accès simple et sécurisé au DEP.

 

Dès que l’AD Swiss aura effectué le raccordement au DEP, amétiq procédera à son intégration transparente dans amétiq siMed – selon le crédo «simple et élégant» d’amétiq, à savoir simplifier ce qui est complexe. amétiq recommande également aux prestataires de services d’adhérer à la communauté DEP AD Swiss.

«L’interopérabilité – la capacité de systèmes à travailler ensemble de manière transparente – est le mot d’ordre actuel dans le secteur de la santé. amétiq est un partenaire essentiel pour nous et s’engage avec nous depuis le début, au sein de l’AD Swiss Community, en faveur de solutions de cybersanté efficaces. L’intégration du DEP dans amétiq siMed via AD Swiss nous permet de fournir aux médecins un accès aux DEP de leurs patients depuis leur logiciel de cabinet habituel.»

Michael Fickenscher, Directeur/CEO d’AD Swiss Net AG

 

«DEP ready» avec amétiq et AD Swiss

Entreprise de logiciels innovante, amétiq fait progresser la numérisation dans le secteur de la santé et souhaite, avec le logiciel de cabinet amétiq siMed, préparer ses clients à la santé en ligne. Pour ce faire, amétiq mise depuis plusieurs années sur l’amétiq cloud hautement sécurisé et dispose de compétences éprouvées dans l’intégration de solutions de cybersanté complexes. Des conditions idéales pour le raccordement au DEP.

«La collaboration avec AD Swiss est une réussite. Notre objectif est de rendre l’utilisation du DEP extrêmement pratique pour nos clients. Les clients d’amétiq sont bien préparés au DEP.»

Markus Posti, Responsable Marché et membre de la direction, amétiq medical ag

 

Vous trouverez de plus amples informations sur le raccordement du DEP sur le site Web d’amétiq.

 

Un partenariat solide

amétiq est membre fondateur de l’AD Swiss Community et représentée au sein du comité directeur par Markus Posti, responsable Marché et membre de la direction. Le partenariat entre amétiq et AD Swiss a déjà fait maintes fois ses preuves par le passé. Plusieurs projets concrets ont déjà été mis en œuvre avec succès:

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20.05.2021: Notification de vaccination Covid via AD Swiss – directement à partir du logiciel de cabinet amétiq siMed

Il est essentiel que les cabinets médicaux puissent faire face au nombre élevé de vaccinations pour lutter contre la pandémie de coronavirus par le biais de processus et de systèmes éprouvés. amétiq siMed permet une transmission automatisée des données de vaccination COVID-19 directement depuis le logiciel du cabinet via AD Swiss vers le système de surveillance des vaccinations de l’OFSP ou des cantons.

 

L’utilisation pratique et intuitive pour la transmission des données de vaccination COVID peut être sélectionnée en toute simplicité dans amétiq siMed. Il suffit de sélectionner le formulaire de vaccination COVID-19 et de le remplir avec les données nécessaires du patient. D’autres informations peuvent être ajoutées au besoin.

Les données sont ensuite transmises de manière sécurisée à l’OFSP ou au canton via la plate-forme AD Swiss. Le carnet de vaccination pour le patient est créé automatiquement. Il peut être remis à celui-ci et être stocké dans le dossier médical électronique. Vous pouvez voir comment cela fonctionne dans la vidéo suivante (en allemand):

 

Un processus automatisé épuré qui allège la charge de travail des médecins

Ce processus automatisé épuré permet d’alléger la charge de travail des médecins et du personnel de cabinet, d’intégrer de manière efficace leur participation à la campagne nationale de vaccination dans les processus de cabinet et de réduire à un minimum la charge de travail supplémentaire liée aux notifications de vaccination.

Le cabinet médical Bergamin à Valbella GR utilise avec succès ce nouveau service et envisage l’augmentation du nombre de vaccinations Covid-19 avec confiance: «Dès la phase de test, la réduction de la charge de travail s’est clairement fait sentir», précise Jessica Loosli, assistante médicale principale. Si le nombre de vaccinations augmente comme prévu dans son cabinet, elle est convaincue que le nouveau service permettra de réduire considérablement la charge de travail. «La transmission sécurisée des données à l’OFSP constitue également un atout essentiel dans ce processus», ajoute-t-elle.

 

Vérifier pour chaque canton si l’utilisation est autorisée

«Je suis impressionné par la rapidité et la fluidité avec lesquelles amétiq a intégré dans ses systèmes la notification des vaccinations via la plate-forme AD Swiss», se réjouit Peer Hostettler, d’AD Swiss. «Les médecins sont fortement sollicités par la mise en œuvre de la campagne de vaccination Covid-19. Nous leurs apportons un soutien significatif grâce à la notification effectuée directement à partir du logiciel de cabinet.»

Que peuvent faire les prestataires de services qui vaccinent déjà ou recevront bientôt le vaccin? Nous recommandons l’utilisation de la solution d’AD Swiss dans les cantons et avec les PIS/KIS qui le permettent déjà. Pour savoir lesquels, consultez notre site web régulièrement mis à jour.

 

L’AD Swiss Community sert d’incubateur pour la mise en œuvre de projets de numérisation réalisables

amétiq est membre fondateur de l’AD Swiss Community. La communauté rassemble le savoir-faire de prestataires de services ainsi que de prestataires techniques, médicaux et administratifs. Ses membres se sont fixé pour objectif de développer conjointement des solutions numériques pratiques dans le système de santé suisse. Un projet important au sein de l’AD Swiss Community a été la mise en œuvre dans le logiciel de cabinet de l’envoi et de la réception sécurisés de rapports intégrés via HIN Mail amétiq siMed.Il est essentiel que les cabinets médicaux puissent faire face au nombre élevé de vaccinations pour lutter contre la pandémie de coronavirus par le biais de processus et de systèmes éprouvés. amétiq siMed permet une transmission automatisée des données de vaccination COVID-19 directement depuis le logiciel du cabinet via AD Swiss vers le système de surveillance des vaccinations de l’OFSP ou des cantons.

 

L’utilisation pratique et intuitive pour la transmission des données de vaccination COVID peut être sélectionnée en toute simplicité dans amétiq siMed. Il suffit de sélectionner le formulaire de vaccination COVID-19 et de le remplir avec les données nécessaires du patient. D’autres informations peuvent être ajoutées au besoin.

Les données sont ensuite transmises de manière sécurisée à l’OFSP ou au canton via la plate-forme AD Swiss. Le carnet de vaccination pour le patient est créé automatiquement. Il peut être remis à celui-ci et être stocké dans le dossier médical électronique. Vous pouvez voir comment cela fonctionne dans la vidéo suivante (en allemand):

Video

Notification de vaccination Covid depuis amétiq siMed via AD Swiss: regardez la vidéo en cliquant sur l’image

 

Un processus automatisé épuré qui allège la charge de travail des médecins

Ce processus automatisé épuré permet d’alléger la charge de travail des médecins et du personnel de cabinet, d’intégrer de manière efficace leur participation à la campagne nationale de vaccination dans les processus de cabinet et de réduire à un minimum la charge de travail supplémentaire liée aux notifications de vaccination.

Le cabinet médical Bergamin à Valbella GR utilise avec succès ce nouveau service et envisage l’augmentation du nombre de vaccinations Covid-19 avec confiance: «Dès la phase de test, la réduction de la charge de travail s’est clairement fait sentir», précise Jessica Loosli, assistante médicale principale. Si le nombre de vaccinations augmente comme prévu dans son cabinet, elle est convaincue que le nouveau service permettra de réduire considérablement la charge de travail. «La transmission sécurisée des données à l’OFSP constitue également un atout essentiel dans ce processus», ajoute-t-elle.

 

Vérifier pour chaque canton si l’utilisation est autorisée

«Je suis impressionné par la rapidité et la fluidité avec lesquelles amétiq a intégré dans ses systèmes la notification des vaccinations via la plate-forme AD Swiss», se réjouit Peer Hostettler, d’AD Swiss. «Les médecins sont fortement sollicités par la mise en œuvre de la campagne de vaccination Covid-19. Nous leurs apportons un soutien significatif grâce à la notification effectuée directement à partir du logiciel de cabinet.»

Que peuvent faire les prestataires de services qui vaccinent déjà ou recevront bientôt le vaccin? Nous recommandons l’utilisation de la solution d’AD Swiss dans les cantons et avec les PIS/KIS qui le permettent déjà. Pour savoir lesquels, consultez notre site web régulièrement mis à jour.

 

L’AD Swiss Community sert d’incubateur pour la mise en œuvre de projets de numérisation réalisables

amétiq est membre fondateur de l’AD Swiss Community. La communauté rassemble le savoir-faire de prestataires de services ainsi que de prestataires techniques, médicaux et administratifs. Ses membres se sont fixé pour objectif de développer conjointement des solutions numériques pratiques dans le système de santé suisse. Un projet important au sein de l’AD Swiss Community a été la mise en œuvre dans le logiciel de cabinet de l’envoi et de la réception sécurisés de rapports intégrés via HIN Mail amétiq siMed.

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17.04.2021: De plus en plus de cantons autorisent les notifications de vaccination Covid via AD Swiss

De plus en plus de prestataires de services ambulatoires sont impliqués dans la campagne de vaccination Covid-19. AD Swiss et ses partenaires proposent des solutions qui simplifient le traitement administratif sûr et efficace de la procédure de vaccination. Mais celles-ci ne sont pas encore autorisées dans tous les cantons.

 

Actuellement, rares sont les sujets qui préoccupent la Suisse – en particulier le système de santé – autant que celui de la vaccination Covid-19. Dans une première phase, la stratégie de la Confédération s’était concentrée sur les centres de vaccination et les personnes particulièrement exposées, mais aujourd’hui, au vu de la disponibilité croissante des vaccins, les structures de santé existantes, telles que les cabinets médicaux et les pharmacies, sont aussi de plus en plus impliquées dans la campagne de vaccination de la Confédération.

Si nous voulons atteindre l’objectif ambitieux de proposer d’ici l’été 2021 la vaccination à toutes les personnes vivant en Suisse, cette implication est effectivement urgente. En d’autres termes: même si les stocks de vaccins sont suffisants, sans un effort important de la part des prestataires de services ambulatoires, il ne sera pas possible de vacciner rapidement la majorité de la population.

 

Vaccination par le médecin de famille

Les médecins de famille ont un rôle essentiel à jouer dans la campagne de vaccination Covid-19, comme l’a récemment expliqué au BMS Blaise Genton, Chef de la Policlinique de médecine tropicale, voyages et vaccinations d’Unisanté et directeur médical de la campagne de vaccination dans le canton de Vaud. Ils connaissent bien le profil de risque de leurs patientes et patients, d’autant que la majorité de la population est assurée dans des modèles de managed care. Les patientes et patients font confiance à leurs compétences médicales, ce qui peut permettre de contrecarrer le scepticisme infondé à l’égard de la vaccination.

Même si certaines questions n’ont pas encore été entièrement clarifiées au niveau politique, de nombreux travaux sont déjà en cours ou ont déjà été mis en œuvre sur le plan technique, ainsi que des processus pour faciliter l’intégration de la vaccination dans les activités des prestataires de services ambulatoires. AD Swiss et HIN s’investissent ici, sur mandat de leurs organes responsables, en faveur de solutions sûres et efficaces, dans la mesure du possible sur la base de systèmes et de normes déjà établis.

 

Saisir et transmettre des données de vaccination avec AD Swiss

Toute procédure de vaccination implique une notification à l’OFSP ou au canton et la création d’un certificat de vaccination pour la patiente ou le patient. Pour ce faire, AD Swiss a implémenté une solution permettant la notification et la création d’un certificat de vaccination – par le biais d’un outil en ligne (AD Swiss Workspace), mais également d’une intégration profonde dans le logiciel de cabinet ou de l’hôpital. Des intégrations ont déjà été mises en œuvre de manière productive avec des prestataires établis, tels que la Caisse des médecins, Vitodata, amétiq et TMR, et l’interface est ouverte à tous les fournisseurs de systèmes primaires.

Autorisation d’unités déclarantes

La mise en œuvre de la campagne de vaccination Covid-19 est une affaire fédérale et relève de la responsabilité des cantons. Ces derniers déterminent, à leur seule discrétion, quelles unités déclarantes («reporting units») sont autorisées sur leur territoire. Certains cantons, par exemple Zurich et Berne, sont réticents à accorder l’autorisation et recourent uniquement pour l’instant à leurs propres solutions. Le canton d’Argovie, quant à lui, suit une approche différente et autorise des fournisseurs sur la base d’un catalogue d’exigences clairement définies. Cela permet aux vaccinateurs de choisir, parmi les solutions disponibles, celle qui leur convient le mieux.

«Vacciner avec AD Swiss» offre certains avantages. Les données des notifications des cabinets médicaux sont d’excellente qualité, car un grand nombre d’entre elles figurent déjà sous forme numérique dans le dossier médical électronique. Comme il y a moins de données à transmettre ou à saisir manuellement, le transfert automatisé depuis le système réduit les sources d’erreur. Cela permet aussi bien sûr d’accroître considérablement l’efficacité par rapport au remplissage manuel de formulaires. En outre, l’identité HIN, qui est toujours utilisée dans les solutions d’AD Swiss, permet d’authentifier de manière univoque l’auteur d’une notification, et la fourniture de données est donc clairement documentée et traçable.

 

Vérifier pour chaque canton si l’utilisation est autorisée

Chaque canton doit d’abord autoriser officiellement AD Swiss comme unité déclarante (voir encadré). Bien qu’AD Swiss s’efforce d’obtenir l’autorisation dans tous les cantons, celle-ci n’a pas encore été accordée partout et, fin avril, la solution d’AD Swiss n’est toujours pas utilisable dans toute la Suisse.

Que peuvent faire les prestataires de services qui vaccinent déjà ou recevront bientôt le vaccin? Nous recommandons l’utilisation de la solution d’AD Swiss dans les cantons et avec les PIS/KIS qui le permettent déjà. Pour savoir lesquels, consultez notre site Web régulièrement mis à jour. Si vous avez des questions, n’hésitez pas à contacter votre fournisseur de système ou le service clientèle HIN.

 

Informations complémentaires

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18.01.2021: AD Swiss, HCI Solutions und Medi24: Gesetzeskonforme elektronische Arztrezepte sind nun auch in der Schweiz erhältlich

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Rezepte werden bis heute entweder von Hand ausgestellt oder auf Papier gedruckt und mit einer rechtsgültigen Unterschrift eines Arztes versehen. Am 1. Januar 2020 ist Artikel 51 der eidgenössischen Arzneimittelverordnung (VAM) in Kraft getreten. Dieser ermöglicht das elektronische Übermitteln von Rezepten.

Die AD Swiss und HCI Solutions haben eine sichere Lösung entwickelt, welche die Anforderungen erfüllt. Die Medi24, führender Telemedizinanbieter der Schweiz, startet als erste ausstellende Arztpraxis mit einem Piloten.

Der Arzt authentisiert sich via seinem HIN Anschluss, auf Basis seiner EPDG-konformen elektronischen Identität (gesetzeskonform), und erstellt ein eRezept. Danach wählt der Patient eine Apotheke aus, die das verschlüsselte eRezept erhalten soll.

Zu Beginn der Pilotphase befinden sich Galenicare Apotheken (Amavita, Coop Vitality und Sunstore) und MediService im System. Das System ist aber offen für alle Apotheken, die sich beteiligen möchten. Mit dieser Offenheit gehen die AD Swiss und HCI Solutions neue Wege. Grundvoraussetzung ist, dass der Patient jederzeit absolut freie Apothekenwahl geniesst.

Damit vereinfacht sich der Umgang mit Rezepten für alle Beteiligten. Unnötige Abholungen von Papierrezepten in der Arztpraxis – wie auch Scannen, Faxen und Mailen – entfallen. Das System ist gegen Missbrauch und Mehrfacheinlösung sehr gut geschützt.

 

Kontakt

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28.12.2020: Interview mit CEO Michael Fickenscher in «DEFACTO»

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«DEFACTO», das Magazin der MCO Argomed, hat in der Ausgabe vom Dezember 2020 ein Interview mit AD Swiss Geschäftsführer Michael Fickenscher sowie Hausarzt Gregor Dufner und Lukas Wenger, Leiter E-Health Argomed, publiziert. Hier die Aussagen unseres CEO in Auszügen:

  • Zum Prinzip der «doppelten Freiwilligkeit»:
    «Das EPD ist das Ergebnis einer politischen Willensbildung. Das müssen wir so akzeptieren wie es ist, ohne es zu bewerten. Ich bezweifle zudem, dass der Zwang die bessere Alternative ist. Die AD Swiss bietet ein günstiges EPD für ambulante Leistungserbringer, auch wenn es noch nicht Pflicht ist. Und wir haben Mitglieder, die eigentlich nicht müssen.»
     
  • Zur Akzeptanz digitaler Lösungen bei Gesundheitsfachpersonen und Bevölkerung:
    «Ich bin überzeugt, dass der Nutzen des EPD im Verlauf der Zeit in allen Kreisen zunehmend erkannt wird [… und] dass die Akzeptanz in den nächsten Jahren zunehmen wird, nicht zuletzt, weil die Patienten konkret erfahren werden, was die Digitalisierung im Alltag für Vorteile bringt.»
     
  • Zum Nutzen des EPD für Patienten und Leistungserbringer:
    «Der Gesetzgeber hat das EPD primär aus der Perspektive des Patienten konzipiert. Das heisst: Der Patient bestimmt, welche Dokumente ins EPD kommen und welche nicht und welche Leistungserbringer diese einsehen dürfen. Neben dem EPD bieten die (Stamm-)Gemeinschaften sog. Zusatzdienste an. Bei der AD Swiss kann man diese heute schon nutzen, wie z.B. die eZuweisung oder das eRezept. Hier wird der konkrete Nutzen für Leistungserbringer entstehen. Die für den Patienten interessanten Dokumente können dann von den Zusatzdiensten automatisch ins EPD geladen werden.»
     
  • Zur aktuellen Entwicklung im Bereich E-Health:
    «Wir sind gut unterwegs und stossen auf offene Ohren und auf eine gewisse Experimentierbereitschaft, vor allem auch seitens der Leistungserbringer und ihrer Verbände. Das ist vor allem deshalb wichtig, weil ein eHealth-System von der Basis her entwickelt und aufgebaut werden muss. Das ist politisch nachhaltiger und stabiler. Auch im Hinblick auf künftige Investitionen in die Digitalisierung der Medizin.»

Das ganze Interview finden Sie in «DEFACTO» 03/2020 (PDF) ab S. 13.

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